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Balzac le qualifiait lui-même de « volume monstre ». Mais cela n’effraie en rien Pauline Bayle, habituée à adapter des œuvres littéraires colossales et majeures. Après Iliade/OdysséeIllusions perdues vient donc poursuivre l’œuvre théâtrale ambitieuse de cette jeune metteuse en scène qui n’a décidément pas froid aux yeux. 

Cette France, qui relie celle de 1820 à la nôtre, Pauline Bayle et ses comédiens l’abordent d’une manière simple, directe, frontale. Pour raconter cette ascension et chute d’un homme en un seul et même mouvement. 

Illusions perdues met en prise des individus face à leurs désirs les plus profonds dans la jungle d’un Paris très proche du nôtre. Les destins se font et se défont au cœur de la ville, un territoire où les chimères enivrent les êtres sans pour autant les consoler de leur solitude. 

La représentation du samedi 17 décembre sera disponible en Audiodescription



Dans la presse

« Pauline Bayle réussit un spectacle d’une force, d’une beauté, d’une tenue et d’une qualité dramaturgique exceptionnelles. Voilà une pièce qui mériterait des spectateurs très nombreux tant elle réussit à lier une insolente audace artistique à une accessibilité totale. » 

Catherine ROBERT, La Terrasse, 3 février 2020 

  

« Chaque génération a ses Illusions perdues. Le Théâtre de la Bastille présente celles de trentenaires qui n’ont pas froid aux yeux : ils se jettent dans le roman d’Honoré de Balzac comme on se jette sur un ring, avec la volonté d’en découdre, d’expérimenter et de comprendre ce qu’il en est de l’ambition dans une France tiraillée entre la province et Paris, aimantée par l’argent et la réussite. » 

Brigitte SALINO, Le Monde, 11 mars 2020 

  

« Pauline Bayle n’a décidément peur de rien. Après avoir brillamment adapté pour la scène Iliade et Odyssée d’Homère en trois heures chrono, voilà qu’elle s’attaque [...] à la Comédie humaine de Balzac… en 2h30. […] Son texte a l’allure d’un précipité limpide : les dialogues claquent, l’action s’emballe, toujours fluide. Le Paris intellectuel et « arty » d’hier résonne avec celui d’aujourd’hui. La satire sociale est d’une savoureuse acuité. » 

Philippe CHEVILLEY, Les Echos.fr, 13 mars 2020 

Distribution
Production
Jeu. 15 Dec 19h30
Ven. 16 Dec 20h30
Sam. 17 Dec 18h00

2h30

Dès 15 ans 

De 10 à 25€

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